Mission rang C : Tuez le marchand de services.

Enfin, je vais pouvoir évacuer la rage que j'avais accumulé au fur et à mesure des différentes mission idiotes .... Je devais me préparer à tout, je n'hésita donc pas à prendre mes armes .... et à préparer mon chakra !

D'après les informations, cet 'imposteur' se trouvait dans un petit quartier à part des autres, pour ne pas se faire attraper, malheureusement il ne devait pas être au courant que les les bouches-à-oreilles; à Kumo, font vite le tour du village. Franchement, il ne devait pas être futé, car il était bien à part des autres quartier, mais complètement visible. Je n'ai donc pas eu de mal à le trouver.

J'avançai d'un pas nonchalant vers le fautif et arriver à bonne distance je lança un kunaï dans sa poitrine. Il l'évita, ce qui me surpris pour un marchand .... IL devait être préparé dès qu'il vit mon bandeau, car il avait dû se rendre à l'évidence, et à se préparer à combattre. IL dégaina un gros katana, et fonça comme une flèche vers moi. Je réussis de justesse à éviter son attaque. Il avait tellement d'élant qu'il ne pus se stopper dans sa course.
*Voilà ma chance* !
Je prépara mon chakra et prononça °Mizukuri no maï° et fit jaillir une épée d'eau, aussi résistante que l'acier et lui enfonça dans la cuisse au moment où il passa à côté de moi. Un cri de douleur retentit dans tout Kumo no Kuni. Le marchand s'écroula, appuyant sur sa jambe pour essayé de retardé hémorragie. Je pris un kunaï et me prépara à abréger ses souffrances, lorsque, rassemblant ses dernière forces, il m'entailla le mollet avec son katana. Je recula mais la douleur était telle que un mouvement de plus m'était impossible. Je lança un shuriken sur mon adversaire, mais rata l'endroit viser et s'enfonça dans l'épaule gauche de ce dernier. A bout de force, il essaya de se donner la mort lui même, car, j'imaginais bien que la douleur devait être insupportable. Malgré sa tentative ratée, il continuait à garder espoir pour vivre, car ses membres ne répondait plus, voilà pourquoi il avait échoué.

J'eus tellement pitié que je trouva la force de me relevé et de murmurer ces quelques morts :

<< Tu n'aurais jamais du trahir ton village. >>

Je repris mon épée qui n'avais pas disparu et l'achever en un coup de sabre dans la cage thoracique. Je laissa sa dépouille là, car je devais d'abord me aire soigner avant que cela ne s'infecte.

La douleur était partis et à mon retour, son cadavre avait disparu, peut-être un proche l'avait-il emmener et enterrer lui même ? Cela ne me regardait pas et j'allai me coucher chez moi après cette dur bataille.

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