Sauvetage in extremis d'un village [Nade, Shiro & Aiyoh]

Leur ascenssion de la montagne brumeuse leur pris exactement une heure. Mais au bout de celle-ci, ils étaient tous éreintés. Le terrain qu'ils avaient gravis était glissant de la dernière pluie qui s'était abattue, et les nuages n'arrangeaient rien. Arrivés sur un haut plateau, ils prirent tous une pause bien mérité. Aiyoh bu un peu d'eau avant de regarder autour d'elle. Les nuages de brume se dispersèrent et ils purent tous constater l'étendu des dégâts de l'éboulement de la veille. Loin de Kumo et des autres villages environnant, ils n'avaient pas pu être secouru lors du moment même de la catastrophe. Il n'avait eu le temps et la brillante initiative d'envoyer un messager porteur d'une missive à l'intention de leur kage afin de dépêcher une équipe sur le terrain.

Les yeux dorés de la jeune femme contemplèrent les maisons effondrées, les terrains dévastés, les gens en pleurent qui avaient perdu un membre de leur famille, d'autre démoli par tous ce travail à refaire. Elle se tourna aussitôt vers les garçons, qui eux aussi, prenaient au sérieux la situation.

- Ok les jeunes, on va faire ce qu'on a à faire avec efficacité et bienveillance. Vous deux, vous serez charger de déterrer les gens ensovelient sous terre ou prisonnier de leur maison. Moi, je m'occuperai des vivres et des blessés. Prudence, surtout. Ce genre de catastrophe attire souvent les vils pillards du coin qui pensent pouvoir piller les maisons de ces pauvres gens. Faîtes tous ce qui est en votre pouvoir pour les aider, mais ne commenter aucune imprudence. S'il y a quoi que se soit, je serai au milieu du village.

Après être certaine qu'ils avaient tous pigé, Aiyoh s'avança vers les villageois en détresse, s'annonça d'une voix forte et assurée.

- Villageois! Je suis Aiyoh Kyoukou, ninja de Kumo et voici mes élèves Nade Tamekaze et Shiro Inugami. Nous sommes ici pour vous aidez. Ceux qui sont en mesure de nous donner un coup de main, rassemblez-vous devant moi. Oui, c'est bien comme ça.

Quelques hommes se présentèrent devant eux. La sensei les confia aux jeunes genins qu'étaient ses élèves, puis se mit en quête de blessés. Elle n'eut pas à chercher loin.

- Que tous les blessés viennent près de moi, je suis en mesure devous guérir!

Elle s'approcha d'une maman qui serait sa fillette aux deux jambes cassées contre son coeur. Les deux pleuraient comme des madeleines. Aiyoh s'accroupit devant elles, professionnelle, et passa sa paume près des jambes brisées.

-Chiyute no jutsu.

La main de la jeune femme aux cheveux bleu pâle s'illumina d'une douce lueur verte qui vint réparer les os et les tissus de la fillette. Au bout d'une minute, tout semblait comme neuf. La jeune femme recommenda à la mère de ne pas la laisser marcher pendant quelques jours et de la suivre au milieu de la rue principale. Émerveillée et reconnaissante, la mère la remercia un nombre incalculable de fois. D'autres blessés vinrent à elle, supportés par amis ou parents, et tous se firent soigner par les bons soins d'Aiyoh. Lorsqu'un enfant la tira avec lui jusqu'à son grand-père, étendu sur le sol, un peu plus loin, pour qu'elle le soigne, Aiyoh ne put s'empêcher d'avoir les larmes aux yeux. Le grand-père ne respirait plus, il était partit pour un monde meilleur. Aiyoh s'agenouilla devant l'enfant désespéré et mit sa main sur sa joue.
Avec une grande douceur, elle allait lui expliquer que son grand-père ne pouvait être soigné lorsqu'on lui mit une lame sous la gorge.

- Mais qu'est-ce que..?!

- Tut Tut Tut, ma jolie, pas de mouvement brusque...

La voix grave et surnoise la dissuada d'empoigner ses épées courtes. Un autre braconnier s'empara du garçonnet et lui plaqua également une lame sous la gorge. La gamin éclata en sanglot.

- Ta gueule, morveux! Ton grand-père n'avait pas d'argent, alors tu n'es bon qu'à subir le même sort que lui!

- Laissez ces pauvres gens tranquilles, siffla Aiyoh, prisonnière.

- Oh mais bien sûr! De toute façon, ils n'ont rien pour nous...par contre, toi...

Lui et ses accolites partirent sur un rire pervers et Aiyoh frissonna. Brillante idée de s'éloigner de ses élèves. * Ah non! Je n'ai pas besoin d'eux!..Et merde, j'ai presque plus de chakra!* Aider tous les blessés était certe charitable, mais lui avait coûté tous son chakra. * Faîtes que Shiro ou Nade passe dans les parages!*

Invité

Apres une longue heure de marche et de souffrance , l'equipe de kumo etait enfin arrivé pres du village detruit. Nade etait étonné de voir une telle desastre il pouvait a la limite en pleurer. Plein de corps blessé gravement et baucoup de chose louche comme des hommes ecraser par leurs propre demeur. Nade sèrra tres fort les poingts et ce dit qu'il ne pouvait pas rester la sans rien faire , tout en pensant que si le village etait dans cette état il serait bien plus triste. Apres cela Aiyoh la sensei de Nade et de Shiro dit a ces deux éleves :

Aiyoh : - Ok les jeunes, on va faire ce qu'on a à faire avec efficacité et bienveillance. Vous deux, vous serez charger de déterrer les gens ensovelient sous terre ou prisonnier de leur maison. Moi, je m'occuperai des vivres et des blessés. Prudence, surtout. Ce genre de catastrophe attire souvent les vils pillards du coin qui pensent pouvoir piller les maisons de ces pauvres gens. Faîtes tous ce qui est en votre pouvoir pour les aider, mais ne commenter aucune imprudence. S'il y a quoi que se soit, je serai au milieu du village.

Nade repondit en fesant un petit geste de la tête et esperer qu'il y'est surtout un voleur car malgrer sont aire triste , il etait plein d'éspérence pour un combat contre un ninja. Aiyoh-Sensei (comme l'appel Nade) presentat en parlant asser fort l'équipe et demandat a ce qui peuvent marcher ou au mieux aider de ce reunir devant elle. Apres sa Nade partit dans les entrés du village pour pouvoir monter la garde au cas ou il y'aurait des voleur ou agresseur ou n'importe qui dans le genre. Il ce retournat et vue asser floudement son sensei qui etait en train de soigner les villageois. Il ce dit qu'elle n'aurait bientot plus de chakra , alors il ce retourna et continua de monter la garde. Mais comme il y'avait deux entré Nade ne pouvait surveiller que la première. Apres un petit quart-d'heure Nade en avait marre de rester coller devant une entrer a regarder s'il y'avait quelque chose. Alors il partie dire a son sensei s'il pouvait faire autres chose comme aider a enterrer les quelques morts. Mais une fois la bas il ne vut que son sensei n'etait plus la , alors il fit le tour du village et ne la trouva pas. Il partit tres rapidement voir Shiro pour lui faire passer l'information , comme il etait son ainé il devait surement le voir en premier.

* Merde, Salopards!!*

Évidemment, espérer que quelqu'un vienne l'aider était idiot. C'était tout le monde à son compte, dans ce genre d'histoire. Soit tu casses, soit tu y passes. Aiyoh n'avait certe pas l'intention d'y passer. Elle était furieuse. Ils n'eurent pas le temps de le remarquer qu'elle changea d'attitude. Elle se tendit, aggrippa rapidement et brusquement le poignet de son adversaire qui maintenait un couteau sous sa gorge, s'accroupit et le fit basculer par dessus elle, malgré sa petite taille. Le coup couper le souffle au vilain. Déjà un de ses accolytes approcha, lui aussi armé, tandis que l'autre serrait le gamin pour se protéger, le menaçant toujours de sa lame. La jeune femme devait faire vite, elle ne voulait pas que celui qui était à terre se relève. Elle sortit ses deux lames et fonça vers le gars qui ne tenait pas l'enfant. Elle le voyait, mord de trouille, alors qu'il se donnait des airs de grosses brutes. Avec un léger rictus, Aiyoh pivota à la dernière instant.

Pris de court, les deux hommes debout ne surent comment réagir. Elle s'élança sans tardé, dans le même élan, vers celui qui tenait prisonnier le petit garçon et abatit sa lame, du côté plat, sur le bras qui gardait l'arme bien serrée. Le coup additionné à la surprise lui fit lâcher prise, la jeune Kyoukou eut le temps d'aggripper le t-shirt du gamin et de le tirer de là. Il tomba au sol, tétanisé.
La jeune fille au cheveux azure prit un instant pour lui crier de s'enfuir. Oups, erreur. Son deuxième adversaire s'était avancé et l'avait prise de dos, lui emprisonnant les bras dans l'étau de fer de ses bras. Celui qu'elle avait frappé s'approcha dangereusement d'elle, furieux. Pour couronner le tout, le troisième se relevait, désarmé, par contre. Le gamin, se releva et sans hésiter, s'enfuit à toute jambe. Aiyoh était tout de même soulagée. Mais qu'allait-il advenir d'elle?

Elle se fâcha, réellement cette fois, sans obstacle tel qu'un gamin pour l'arrêter. Elle était capable de se débarrasser de ces trois pillards. Elle retourna rapidement ses lames pour que celles-ci soient vers le bas plutôt que vers le haut et les planta brutalement dans les cuisses de son agresseur. Il poussa un cri de douleur et la lâcha simultannément. Aiyoh ne perdit pas de temps et lui envoya un coup de pied bien placé sous le menton, ce qui lui fit faire un joli vola plané de quelques fractions de secondes dans les airs.

Une quatrièment personne choisit ce moment pour arriver. Mais contrairement à ce qu'elle le soupçonnait, la personne cria plutôt:

-Sensei!

Nade arrivait enfin, derrière lui, le gamin en pleure.